Bonjour à tous, nous sommes le mardi 23 janvier 2024, dans les titres du flash quotidien des expatriés : La loi contrôlant les influenceurs retoquée par l’UE – Les vœux de Stéphane Vojetta – Les agriculteurs et Gabriel Attal : une crise non anticipée.

 

Aligner la loi influenceur sur les standards européens 

La loi « influenceurs », premier texte législatif au monde qui réglemente les activités des créateurs de contenu en ligne, ou « influenceurs », a été adoptée en un temps record de six mois, en passant par une série de votes unanimes à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Toutefois, la Commission européenne a envoyé une lettre au gouvernement français en août 2023, deux mois après la promulgation de la loi, considérant que certaines dispositions entraient en contradiction avec les règles du marché unique de l’UE. Pour Stéphane Vojetta, corapporteur de la loi, député des Français de la péninsule ibérique et de Monaco, aligner la loi sur les standards européens ne posera pas de problème puisque celle-ci a été pensée pour cibler ceux installés à l’extérieur de l’Union européenne. 

 

Les vœux de Stéphane Vojetta 

Vous avez envie d’en savoir plus et vous vivez au Portugal ou en Espagne, profitez des rencontres organisées par le député ce mardi 23 à Valence en Espagne et à Lisbonne le mercredi 24. Direction les réseaux sociaux de Stéphane Vojetta pour connaître les modalités. 

 

Scénario noir pour Gabriel Attal

Entre le blocage de l’autoroute A64 et une explosion nocturne dans des bureaux du ministère de l’environnement à Carcassonne, la colère des agriculteurs a passé un cran ces derniers jours. De quoi donner des sueurs froides au gouvernement, qui joue pour l’instant la carte de la câlinothérapie. Confronté à sa première crise d’ampleur, Gabriel Attal, qui n’a jamais planché sur les sujets agricoles, a immédiatement misé sur le velours. En déplacement dans le Rhône samedi, le Premier ministre a promis de “réduire la paperasserie” des agriculteurs pour leur “faciliter la vie”. En toile de fond, se jouent également les futures élections syndicales en 2025, poussant les centrales à ne pas vouloir sembler être à la remorque de leurs adhérents dans un contexte européen inflammable. Mais c’est surtout une éventuelle conjonction des luttes qui est dans toutes les têtes au gouvernement. Si les revendications des agriculteurs sont très liées à leur métier, leur ras-le-bol pourrait parler bien plus largement. Voir réactiver les Gilets jaunes ! À suivre 

 

C’est tout pour ce mardi, passez une belle journée où que vous soyez