Le ministre délégué en charge du Commerce extérieur et des Français de l’étranger a voyagé au Japon les 23 et 24 avril, pour parler de l’attractivité de la France, la francophonie et les Français de l’étranger. 

Franck Riester a également inauguré les travaux du pavillon France qui sera dévoilé à l’Expo universelle d’Osaka en 2025. Il est réalisé conjointement par l’agence française Coldefy et le bureau italien CRA-Carlo Ratti Associati. Ce bâtiment veut incarner « l’hymne à l’amour », situé dès l’entrée de l’exposition, et à faible impact écologique, avec des matériaux réutilisables. 

Et le déplacement de Franck Rester a eu lieu 4 mois après la signature de la coopération franco-japonaise. Le ministre délégué devait donc transformer les intentions en actes concrets. D’autant que le Japon sera l’invité d’honneur du prochain salon Vivatech, du 22 au 25 mai à Paris. Franck Riester a ainsi rencontré le PDG de Mitsubishi Electric, Kei Uruma. Le géant nippon engage près de 600 personnes en France et va racheter le fabricant de climatisations réversibles, Aircalo. 

Le ministre est également allé au contact des Français qui vivent au Japon. Ils sont 12 000 inscrits au Registre consulaire, alors qu’environ 16 000 Français y vivraient. Franck Riester s’est notamment rendu au Lycée Français International de Kyoto, accompagné par l’ambassadeur de France au Japon, Philippe Setton, mais aussi la Consule générale de France à Kyoto et Directrice de l’Institut français du Kansai, Sandrine Mouchet. Le ministre a pu croiser des élèves allant de la maternelle au Lycée. Il a également rencontré des militants de la majorité présidentielle, comme Alexandre Joly, élu Conseiller des Français du Japon sous l’étiquette MODEM. Notamment pour mobiliser un maximum d’électeurs en vue des élections européennes. 

Franck Riester a également visité la ville de Kujoyama, qui accompagne les artistes avec des programmes de recherche. Comme au Canada, il y a quelques jours, Franck Riester s’impose un rythme intense pour couvrir pleinement l’ensemble de son portefeuille. Pour une fois, les Français de l’étranger semblent jouer à égalité avec les autres portefeuilles tenus par son ministre dédié.