Santé et protection sociale à l’étranger : la CFE et ALEA au service des expatriés français à Hong Kong et en Chine
La CFE : la sécurité sociale des Français expatriés
Une mission méconnue mais indispensable
La CFE est souvent perçue comme une inconnue pour les expatriés, alors qu’elle joue un rôle clé : transposer le système de protection sociale français à l’étranger. « La CFE, c’est la sécurité sociale des Français qui résident à l’étranger, explique Rachida Kaci. Nous proposons les mêmes garanties qu’en France : santé, prévoyance et retraite. »
Les évolutions en 2025
Pour mieux répondre aux besoins des expatriés, la CFE a modernisé ses services :
- Un extranet enrichi pour accéder à plus d’informations et de services en ligne, 24h/24.
- Une réponse plus rapide aux demandes, avec une simplification des procédures de remboursement.
- Une couverture universelle : pas de questionnaire médical, pas de limite d’âge, pas d’exclusion pour pathologies préexistantes.
« Nous voulons être au plus près de nos assurés, surtout dans des pays éloignés comme la Chine, où les horaires de contact avec la France peuvent être compliqués », souligne Rachida Kaci.
Les limites de la CFE et l’importance des complémentaires
Des remboursements basés sur les tarifs français
La CFE rembourse selon les tarifs de la Sécurité sociale française, ce qui peut laisser une partie importante des frais à la charge de l’assuré, surtout dans des pays où les coûts médicaux sont élevés, comme Hong Kong ou la Chine. « Plus les coûts de santé sont élevés, moins le remboursement de la CFE est important, précise Rachida Kaci. C’est pourquoi il est essentiel de compléter cette couverture. »
Le rôle clé d’ALEA
ALEA, en tant que représentant officiel de la CFE, propose des solutions complémentaires pour couvrir les frais restants. « Nous travaillons avec des assureurs français pour offrir des complémentaires expatriés, équivalentes aux mutuelles en France, explique Julien Mathieu. Cela permet aux expatriés d’avoir une couverture à 100 %. »
Comment bien se couvrir en tant qu’expatrié ?
Trois étapes clés selon Julien Mathieu
- S’enregistrer au consulat : Pour bénéficier des informations et protections disponibles.
- S’informer : Contacter des experts comme ALEA pour comprendre ses options.
- Agir : Souscrire une couverture adaptée, en combinant CFE et complémentaire.
« Beaucoup d’expatriés nous contactent trop tard, une fois qu’ils sont malades ou hospitalisés, regrette Julien Mathieu. Il est crucial de se renseigner dès son arrivée. »
Un exemple concret : la couverture santé à Hong Kong
À Hong Kong, où les frais médicaux sont parmi les plus élevés au monde, un expatrié a plusieurs options :
- Une assurance locale : Souvent peu chère, mais avec une couverture limitée.
- Une assurance internationale non française : Coûteuse et parfois complexe.
- Une assurance française complémentaire à la CFE : « La solution que nous recommandons, car elle permet un remboursement fluide et complet », précise Julien Mathieu.
Une collaboration gagnante pour les expatriés
La CFE et ALEA combinent leurs forces pour offrir :
- La solidité d’un organisme public (CFE) avec l’expertise locale et personnalisée (ALEA).
- Un accompagnement sur mesure pour les familles, les jeunes actifs et les entreprises.
« Nous apportons une proximité humaine et des conseils adaptés, ce qu’un extranet ne peut pas remplacer », souligne Julien Mathieu.
Un message aux expatriés
« Il n’est jamais trop tard pour reconsidérer ses choix, rappelle Rachida Kaci. La vie évolue, tout comme les besoins en protection sociale. » « Contactez-nous, ajoute Julien Mathieu. Nous sommes là pour répondre à vos questions et vous accompagner. »
Pour en savoir plus :
- Site de la CFE : www.cfe.fr
- Site d’ALEA : https://alea.care/fr




