Une plongée dans le passé chrétien, pas simple mais pratiquement accompli.

Même si tout n’est pas vraiment accompli, en Cappadoce les ruines et les grottes troglodytes en témoignent. Une première cave troglodyte transformée en église, probablement la première, la plus ancienne église datant du second siècle en Cappadoce et peut-être dans l’histoire du christianisme. 

La transformation d’églises en mosquées est fréquente comme d’autres fois dans les mêmes lieux ou ailleurs les transformations des synagogues en églises etc. La plus symbolique est celle de la sainte Sofia à Istanbul (Constantinople), cette fierté de la Byzance, qui fut le joyau et le centre de la seconde Rome.

A elle seule, elle devient le signe, à la fois de la présence chrétienne au passé simple, et en même temps le prolongement chrétien sous une forme cachée pour la faire oublier.

N’étant plus présente dans la mémoire d’une nouvelle religion qui, comme le christianisme avant, obéit à la règle immuable : brûler ce que l’on a adoré et adorer ce que l’on a brûlé. 

Pour le moment, les églises transformées en mosquées sont bien entretenues et parfois certaines symboles chrétiens ou représentations picturales, comme celles de la Hagia Sophia, la sainte sagesse, sous forme de figure de Marie, bien que couvertes de deux draps, laisse tout de même apprécier l’essentiel, tout comme la peinture à l’entrée qui est entièrement visible, peut-être parce que les fidèles et les visiteurs ne sont pas censés lever la tête en se préparant à pénétrer à l’intérieur du plus grand édifice du monde durant des siècles.

La Cappadoce, et d’autres endroits riches en passé chrétien en Turquie actuelle, respirent la présence chrétienne, présence exhumée au contact avec les yeux de visiteurs, qui y posant le regard, se branchent sur le passé des autres et aussi un peu sur le leur. Passé qui ainsi revit avec son lot d’espoirs surgis au cœur d’une terre voisine à celle de la Terre sainte, encore une fois en proie aux violences mortifères.

Terre d’où est sorti l’élan missionnaire chrétien, terre, avec laquelle la connexion faite par le fondateur apôtre André, connexion magnifiquement assumée dans le cadre de la dynamique d’expansion chrétienne, par des héritiers comme saint Basile de Césarée (Kayseri) avec tant d’autres, assure le lien vital pour la foi, entre leur passé et notre présent. 

C’est à Kayseri que j’ai atterri un dimanche d’octobre pluvieux qui, contrairement au visiteur que je suis, réjouit la terre desséchée, d’habitude fouettée par le vent sec et le soleil de plomb qui pousse tout être vivant à se mettre à l’abri, à l’ombre pour chercher du repos en sécurité. Faute de quoi, il ne reste plus qu’à se fermer, rabougri, recroquevillé sur soi-même dans l’espoir de conserver un peu d’eau nécessaire pour la survie, comme le font les plantes du désert, cactus et autres, en attendant mieux. J’y songe, pense, médite sur l’eau du baptême dont le souvenir est conservé dans les alvéoles de notre foi.

Qu’attendent les chrétiens, qui y restent et surtout ceux partis ailleurs, qui s’accrochent aux ruines de leurs églises pour résister à la sécheresse désertifiant leur foi au milieu des cailloux que la nature et les humains ne cessent de présenter comme le seul point d’appui pour la tête afin de faire reposer les pieds fatigués par la marche à travers l’histoire des générations qui se succèdent à la recherche d’une oasis d’espérance réelle et non pas fantasmagorique.

Leurs corps sont endoloris par les frottements répétés au rythme des pas pour mesurer la distance entre la terre où ils sont et la terre promise qui leur tient tant à cœur ; entre la vie quotidienne des nomades malgré eux et la vie rêvée des anges, dont la protection sous les ailes de ces messagers rassure, encourage, apporte de la lumière et de l’ombre.

Leurs pieds sont constamment frottés contre les cailloux extérieurs qui s’ajoutent aux cailloux dans les sandales qui y font un bout de marche ensemble, avant que l’on les expulse. Les corps endoloris à la suite d’un manque d’oxygène que les autres chrétiens auraient pu leur fournir pour une respiration commune, celle de la foi partagée. 

C’est ce qu’ils attendent, c’est ce qu’ils espèrent encore, parfois, sans trop y croire, mais capables de réveiller l’espérance endormie, étouffée, asphyxiée, qui couve toujours. C’est ce que j’ai compris au contacts avec les Chaldéens qui se sont réfugiés en France et qui racontaient que là-bas il n’y a plus rien, des arbres poussent dans des églises éventrées, où se mettent à l’abri des pigeons, ces lointains cousins des colombes… de la paix.

Si j’ai toujours voulu y aller ce n’était pas pour vérifier ce qu’ils disaient, je les croyais sans peine aucune, si j’y suis allé, c’est pour communier à ma manière, il fallait seulement qu’une occasion se présente; c’étaient les Journées Pastorales Mondiales des Communautés Catholiques Francophones organisées un an après celles de Rome (la première Rome).

 

Les chrétiens que nous rencontrons, le patriarche et sa suite, mais surtout des étrangers, il n’y a plus de levantins, leur foi ne flétrit pas.

Au contact des autres croyants, y compris par les ruines interposées, les touristes ont de quoi méditer sur les tenants et les aboutissants de leur foi.

Le futur pape Jean XXIII, alors nonce apostolique en Turquie, y a sans doute découvert le secret d’un dialogue interreligieux (dans les circonstances bien plus sécurisées, nettement moins périlleuses que celles de saint François d’Assise en son temps).

Il s’agit du secret qui préserve de réduire l’autre à un futur comme nous; ce qui devient un sacré challenge pour tout élan missionnaire dont nous venons de célébrer la semaine consacrée, avec une journée rien qu’à Hong Kong de rassemblement de plusieurs milliers de catholiques.

Même l’élan missionnaire a des limites, non seulement celles liées aux contingences matérielles et humaines socio-spatiales, mais également et peut être avant tout les limites imposées par le respect de l’autre; une nouveauté que l’on ne sait pas (encore) très bien aborder ni chez nous ni ailleurs. 

Au présent de ma visite en Cappadoce, c’est la pluie qui pousse à se mettre à l’abri qui offre une protection fragile précaire, à l’image de celle qui protège notre bonne mémoire de l’oubli et de plus ou moins hasardeuses transformations qui risquent de conduire l’esprit dans un soliloque entre soi-même et ce que l’on s’imagine au sujet de ceux que l’on rencontre. 

La pluie n’est pas imaginaire, c’est un appel qui tombe du ciel pour purifier et solidifier la foi qui, elle ne se veut pas imaginaire non plus, en cherchant à se dégager de tout ce qui l’expulse du réel. 

Mais puisque la pluie n’arrête pas le pèlerin, et que le parapluie qui servirait plus tard dans la dernière journée de visite de parasol aide à ne pas se laisser rattraper par les méchants êtres vivants invisibles désireux de nuire à la respiration d’ordinaire joyeusement nourrissant le corps et l’esprit. 

Les méchants êtres vivants invisibles désireux aussi de brouiller le regard dont la clairvoyance perd ainsi de sa perspicacité. Apprécier la présence chrétienne en déclin, c’est aussi se laisser mouiller par l’arrosage musulman de la situation actuelle, et il n’y a pas que des épines qui poussent, la nature en est ainsi fait, il n’y a rien de chimiquement pur (excepté certains euphorisants). 

C’est ainsi que je comprends la présence des ruines d’églises, mais aussi des maisons abandonnées à la faveur des déplacements par vagues successives plus ou moins forcées, certaines de ces églises transformées en mosquées servent de lieu de culte nouveau aux habitants des villages nouveaux qui surgissent de la terre ensemencée d’un désir de vivre en paix entre les fidèles de la religion, dont la présence légitime le désir de l’unité d’un pays musulman qui désire vivre en paix avec les autres. Le même désir pour tous les siens et à l’égard de tous les autres, même si les implications peuvent être disjointes.

La dynamique inclusive se fait aux moyens des lois définies par les instances politiques qui veillent sur la dynamique inclusive de la religion dans la société.

Démarche apparemment plus facile dans les pays d’Islam que chez les chrétiens, même si l’histoire chrétienne y compris celle de l’église catholique latine a maintes fois prouvé l’inclusion de la religion dans la gestion politique, et c’est au risque de voir la religion étouffée par l’idéologie qui n’a qu’un seul objectif, celui de l’efficacité de sa pénétration dans les différentes sphères et composantes sociales de la population. 

Instrumentaliser une religion, quelle qu’elle soit, ou l’ignorance de celle-ci dans tous les sens du terme, c’est malheureusement ce qui arrive parfois (souvent) avec une complicité de la religion elle-même, l’attitude du patriarche de Moscou en est le plus récent exemple. 

Mais heureusement toute religion, dans les cadres d’un pays d’une culture donnée, peut produire des antidotes à un tel danger. Est-ce le soufisme, dont l’influence a profondément marqué l’islam turque, qui a produit un islam qui se veut plus ouvert à certains aspects civilisationnels, dont la tenue vestimentaire et relationnelle. Ceci peut être aussi visible dans une certaine velléité affichée par le Consulat de France à reconnaître la place de l’Église catholique via les congrégations religieuses (franciscains, dominicains, jésuites etc.). Pas certain qu’un représentant d’État ait eu le même discours dans l’Hexagone, présence soigneusement et maladroitement gommée par la guide de sainte Sophia. 

A cause de la solidité de sa construction, -l’histoire bimillénaire de la basilique de sainte Sophie, hagia Sophia (sainte Sagesse) constitue à elle seule un témoignage-, a fait de cet édifice religieux un symbole d’une relation bien mouvementée. Elle est donc, comme souvent ailleurs (la France en est presque le champion) tout naturellement l’objet des appropriations laïques et religieuses : mosquée depuis la conquête musulmane au XV siècle, puis à la naissance de l’état turque laïque musée entre 1923 et 2018 et, à la faveur de la politique du gouvernement qui englobe l’islam comme moyen de s’en servir pour accéder au pouvoir, comme, sous la poussée des frères musulmans, a fait le président Erdogan et qui la transforme de nouveau en une mosquée.  

 

Comme signalé précédemment, c’est en Turquie que le nonce Roncallli a appris de la rencontre avec l’islam sur sa manière de conduire l’Église au travers du Concile Vatican II, en particulier sur l’ouverture au dialogue interreligieux pour chercher la vérité ensemble. 

Durant les Journées à Istanbul, une doctorante turque qui travaille sur le péché et la grâce chez Kierkegaard, nous fait redécouvrir l’influence de Roumi (poète mystique du XIII siècle) sur la pensée chrétienne du philosophe danois. Est-ce comme l’interroge un participant, le seul représentant d’Amérique du Sud, une bonne occasion pour réfléchir tous sur la portée des échanges entre “les justes”, car tous cherchent à gommer les différences, voire omettre de dire le fond du fond, mus par le désir de se présenter comme des justes ? 

A travers son témoignage de vie (sa conversion lente et profonde), la directrice d’une rare école catholique en Turquie, a montré qu’il était possible sans se lamenter ni être candide (un euphémisme pour signifier la naïveté) de déployer un projet pédagogique fondé sur des valeurs humaines, avec la touche chrétienne propre bien visible, et que ce soit bénéfique aux jeunes comme à leur familles, tous musulmans, dont pour beaucoup c’est une étape décisive pour pouvoir permettre à leurs enfants de quitter un jour le pays.

L’islam turque n’a pas été réduit par l’extrémisme de Daech, le relai familial et communautaire en a préservé les jeunes musulmans turques de France (250 communautés sunnites alawites). Un combat à mener pour le dialogue en interne dans la communauté musulmane et localement avec catholiques, protestants etc, ne semble plus de mise à l’époque des grandes déceptions et désillusions sur la possibilité d’avancer ensemble en vérité et dans le respect mutuel; en France ou ailleurs, les écoles seront-elles capables de contredire cette tendance? 

Chez les catholiques qui ont intégré (maladroitement!) le respect d’autrui, vouloir convertir l’autre n’a plus de force pour relancer la machine missionnaire à produire des nouveaux chrétiens; machine qui est en panne provoquée par une profonde et communément partagée conscience du respect “total”? de l’autre qui ne croit pas et que l’on doit laisser dans son état à moins que, au contact avec les témoins qui l’interpellent, c’est alors qu’il entre en dialogue. 

C’est le sens et la mission de la présence chrétienne dans le monde musulman, et les expulsions massives de chrétiens majoritairement orthodoxes de Turquie et de musulmans de Grèce, comme pour la plupart des pays à forte présence de minorité chrétienne dans le monde musulman et vice versa, cette situation fait courir le risque d’une polarisation que le dialogue relègue alors au débat de salons et quelques tables rondes font perdre l’essentiel de ce dialogue, dialogue de vie (quotidienne) au ras des pâquerettes.

Au cours des Journées pastorales, les conditions du dialogue furent rappelées: la solidité de sa foi et de ses convictions qui l’entourent et lui permettent de pouvoir communiquer, dialogue qui n’interdit pas la discorde, mais interdit la polémique… 

Dialogue d’idées, de pratique religieuse et des actions communes qui permettent de surmonter les discordes, sinon à mon avis tout au moins les suspendre au profit de la cause commune. Tant que celle-ci est entreprise, le poids de la discorde ainsi suspendu est momentanément enlevé, ainsi la concorde paisible d’une discorde apaisée permet de faire ce qui est bon pour la cause commune.

Ce que tentent tant de Juifs et de Musulmans dans l’actuelle tragédie qui se déroule sous nos yeux impuissants, capables seulement de pleurer, puis d’essuyer les larmes en signe de la fin du deuil émotionnel, avant d’agir.

Les terroristes sont terroristes et les victimes sont toujours victimes, d’où qu’elles viennent et la responsabilité est toujours celle des auteurs (rester sans fuir les bombardements, versus : partez sans aucun moyen de le faire), trop facile de se cacher derrière l’inévitable du caractère collatéral des victimes.

Jusqu’au moment où le verrou qui assurait la suspension, mécaniquement le poids de la discorde, et ce sous n’importe quel prétexte (comme dans ce conflit palestino-israelien) pourvu qu’il soit profitable pour l’intérêt de l’auteur, qui profitant du vide créé par inadvertance une distraction, une dépravation de la raison d’action commune, écrase toute velléité à mettre de côté la discorde, la rendre inopérante, stérile, futile, obséquieuse et malheureuse d’être toujours classée dans la catégorie de la faute originelle, elle la discorde dans l’attente de sa propre réconciliation. 

Malgré la fragilité de la situation idéalisée qu’est le dialogue préconisé pour aboutir à une paix durable, il y a une force de tampon entre les sentiments primaires et la raison éclairée qui pourtant ne joue pas son rôle dans tous les aspects de la vie relationnelle. 

Effacer, éradiquer, au mieux ou au pire c’est selon, oublier comment la démocratie peut servir d’autobus pour prendre le pouvoir et puis ne faire qu’à sa tête, oublier ce qui l’a fait naître, être (pour quelle destinée?), c’est la minorité oubliée des autres et finalement oublieuse d’elle-même, réduite à un tas des cendres emportées par le vent de l’histoire soufflé par des incinérateurs des autres et parfois d’eux-mêmes.

Saint onoufrus patron des transgenders 

The peinting of the body with barbed face and briests 

Pera other side 

 

Les grecs contre les latins n’ont pas demandé d’aide contre les turcs, ce qui a précipité la chute de Constantinople 

Deux communautés : latine ottomane et communauté latine des étrangers (suspectée de l’ingérence d’une puissance étrangère) 

Créer une association des catholiques latins c’est créer de facto une Eglise nationale avec le risque de voir refuser l’ingérence du Vatican. 

Les levantins étrangers qui gardaient la nationalité d’origine, considérée comme supérieure aux sujets ottomans, ni orientale ni occidentale. 

Les mariages mixtes ont achevé la communauté levantine 

Trois bâtiments de nonciature Ankara Istanbul et…. Les autres n’ont aucun titre de propriété

Actuellement l’église catholique est composée des catholiques de passages, en oubliant les latins sujets ottomans. 

Patriarche Bartholomeos et métropolite Emmanuel 

Saint Sophie et st Irène =la sagesse et la paix 

Visite du consulat, 

Puis conférence par un soufi, philosophe et diplomate ambassadeur près de Saint Siège. 

Qui évoque l’exemple de son prof Mr Duchemin qu’il voyait prier devant la Vierge Marie ce qui l’a ouvert à la spiritualité indépendamment d’une religion particulière. 

C’est toutes proportions gardées, en voyant les professeurs du lycée venir prier à l’église avant d’aller en classe qui a sûrement contribué à la consolidation de ma foi, ou encore le fait que mes deux voisines allemandes dimanche allaient en ville pour le culte protestant et le fait que j’ai été baptisé dans une église protestante rendu au culte catholique m’a ouvert à la dimension Oeucuménique. 

De l’admiration à l’action, peu importe sa longueur et sa vitesse, il n’y a qu’un pas vers l’action. Cherche à créer un langage nouveau de dialogue entre les chrétiens et les musulmans.

Comment il voit ce nouveau langage 

Tradition c’est ce qui résiste à l’histoire, elle est à comprendre dans son propre langage. Il n’y a pas de deuil dans l’islam. 

Le populisme est toujours un danger. 

Alévites en Turquie 

Pour la poésie des francophones voir l’université de Galata département de philologie m 

De l’époque byzantine pour les besoins en eaux du palais impérial : 

Citerne basilique ou plus de 300 colonnes récupérées l’eau stagnante les musulmans préfèrent l’eau qui coulent qui est donc plus propre. Actuellement un musée 

Claudio Mange ami de Christian Salençon conférence sur le dialogue interreligieux. Dialogue n’interdit pas la discorde mais interdit la polémique. 

C’est fatiguant de savoir que l’on ne possède pas la vérité, mais on la recherche. 

La présence des arméniens catholiques est légalisée en 1830. 

250 communautés sunnites turques en France 

Les turcs préfèrent les rassemblements festifs (marché ….) que de venir à la mosquée. 6 écoles privées francophones en Turquie. 

La religion n’est pas qu’un instrument politique, la vérité passe par une telle . 

Pocel 

La communauté de vie et dialogue de vie intéresse le pouvoir public, pas comme un acteur ou auteur du dialogue, mais peut fournir le théâtre et applaudir 

Réticence idéologique est doublée par l’ignorance

Casser les préjugés 

L’organisme IMPE pour aider les réfugiés migrants inter paroissial travaille en clandestinité, car sujet sensible 

2023 117 mill de déplacés réfugiés, 

4 millions de réfugiés accueillis en une année (?) 

L’IMPE accueille 80-100 personnes par mois (afghans etc) surtout femmes et enfants. L’éponge peut absorber bp d’eau mais jusqu’à un certain point 

Dialogue d’idées, de pratique religieuse et des actions communes qui permet de surmonter sinon tout au moins les suspendre. 

St Antoine église la plus fréquentée par les musulmans et pèlerinage de st Georges avec la file d’attente, 

Entre l’annonce et la discrétion